Discipline qui s’intéresse aux déséquilibres engendrés par les comportements des investisseurs, notamment lors de crises financières ou de périodes de volatilité exagérée des marchés réagissant à une information, à un indicateur ou à une manifestation de mimétisme. Plutôt que de considérer l’investisseur comme un être strictement cartésien, la finance comportementale postule que son jugement peut être biaisé par des anomalies de marché qui émanent non seulement de facteurs structurels (p. ex. un monopole qui porte atteinte à une concurrence idéale), mais aussi de biais comportementaux.